Raku, ivresse du hasard entre Ciel et Terre.
Défournement à température élevée, tressaillage de l'émail, à corps perdu dans la fournaise, accord retrouvé des cendres carbonées, bronzage cuivré...
Le Raku est devenu une expression contemporaine éloignée de son berceau coréen et japonais.
A fleur de peau, peau de terre «empreintée» au creux de la matrice originelle puis scarifiée, cicatrisée, ritualisée...Décor du corps, vêtement chamanique,
magnétisme fragile en quête de spiritualité, entre l'enfer et l'eau, la terre et le ciel.
Ces divinités sont là pour parler d'elle, de lui, de l'humain divin, du divin humain.
VISITER LE SITE D'ALAIN TRIBALLEAU
RETOUR |